Joyce Staverton Feat. Célébrité Ω Nom : Staverton Ω Prénom : Joyce Ω Age : 22 ans Ω Métier/Situation : Etudiante en psychologie Ω Race : .Sorcière/être de lumière Ω Camps : Penchant bénéfique Ω Mes Pouvoirs : Morphing

Joyce est quelqu'un de très curieux, encore jeune elle essaye d'être forte et perspicace. Elle est généreuse et adore aider les autres.La blondinette a un fort caractère et ne montre pas facilement si elle est blessée ou si elle a besoin d'aide. C'est quelqu'un qui aime se faire belle, mais qui ne se concentre pas trop sur ce que les autres pensent d'elle. Même si Joyce essaye de donner une bonne impression pour cacher son malaise.
Côté physique, Joyce est athlétique, elle a toujours adoré le sport et surtout la natation. Elle a fait pas mal de compétition et compte bien continuer. C'est quelqu'un qui respecte sa propre mode, classe, chic, tout y passe selon son humeur et la saison, elle ne s'habille jamais deux fois de la même façon montrant ainsi un coeur généreux et ouvert aux différences

Originaire du Canada, Joyce a perdu sa mère très tôt, son père ne lui a parlé que très peu de magie, juste qu'il fallait croire en quelque chose de bien particulier en ce bas monde.
La jeune fille grandit en connaissant une enfance heureuse. Des cours de musique, de peinture. Elle adorait l'art et la musique et était assez douée en flûte traversière. Les tableaux dans les musées attisaient toujours sa curiosité et augmentaient son imaginaire. Concernant les livres, elle avait lu des choses sur la magie sans vraiment jamais en parler à son père qui semblait s'énervait à chaque fois que le sujet déviait dans cette direction. On aurait dit que la magie l'avait trahi. Aussi, la blondinette n'avait jamais essayé d'en savoir plus, après tout s'ils en parlaient pas tous les deux, c'est qu'il y avait une raison.
N'ayant pas de mère, Joyce avait mûrit assez rapidement. Elle aimait les voyages et était déjà partie en colonie de vacances plus jeune ou en voyage linguistique pour apprendre l'italien. Les voyages avaient une grande place dans sa vie, c'était devenu une passion. Que ce serait pratique si elle pouvait changer d'endroit en un claquement de droit. Bien sûr, Joyce n'aurait jamais pu douter que ça allait vraiment lui arriver.
En grandissant, elle voulait s'essayer à une vie indépendante. Elle voulait déjà partir de chez elle à 18 ans, mais son père la trouvait trop jeune, surtout pour la ville de son choix: San Fransisco. Qui plus est, Eric - son père, n'était pas prêt à la voir partir dans une ville où elle ne connaissait personne. Aussi, une fois son lycée terminé, Joyce avait choisit la psychologie - bien que son père trouvait que c'était une voie bien trop fermée. Jouant sur son côté tête de mule, elle était arrivée à lui faire entendre raison. Ce fut ensuite facile de trouver une Université à San Fransisco. Au bord de la mer et au soleil, le rêve non? Surtout pour une jeune femme de son âge.
Evidemment son départ a été dur à accepter pour son père qui voyait en elle une petite fille, mais il voulait l'aider à quitter le nid alors il l'aida à déménager en lui faisant promettre qu'ils se parleraient tous les jours.
Alors Joyce emménagea à San Fransisco, et s'inscrivit en Psychologie, des études qui lui convenaient bien. La demoiselle adorait le contact avec les autres et se sentait toujours le pouvoir de les aider d'une façon ou d'une autre.
Alors qu'elle venait de célébrer sa majorité internationale, on l'appela pour lui apprendre la plus mauvaise des nouvelles: son père était mort. Plusieurs jours, la miss était muette, elle n'arrivait tout simplement pas à y croire. Sa relation avec son père était tellement importante pour elle. C'était sa seule famille et désormais la blondinette se retrouvait toute seule, qui plus est elle ne s'était fait qu'une ou deux bonnes amies, quelque part en à peine un an et demi, les connaissances commençaient à apparaître, mais cette perte la bloqua quelques moments.
C'est alors que des choses vraiment bizarres commencèrent à se produire: elle arrivait à disparaître quand elle avait peur ou lorsque la fatigue était palpable, puis un drôle de bonhomme fit l'apparition dans sa vie: un certain Léo... tout ceci sentait l'entourloupe...